Le jour où j’ai compris que les émotions ne sont pas des ennemies

Il y a quelques années, j’aurais juré que certaines émotions étaient mes ennemies. La colère ? À refouler. La peur ? À fuir. La tristesse ? À cacher sous le tapis. Et si possible, saupoudrer le tout d’un sourire de facade.

je croyais, comme tant d’autres, que maîtriser ses émotions, c’était les dominer. Ne pas pleurer, ne pas douter, ne pas vaciller. Être fort. Ou du moins, en avoir l’air.Puis un jour, au détour d’une séance avec un client venu « juste pour arrêter de fumer », quelque chose s’est ouvert. Ce n’était pas le tabac le vrai problème. C’était une boule dans la gorge. Un chagrin ancien. Un adieu non dit. Et à ce moment-là, j’ai vu ce que je refusais de voir depuis longtemps : les émotions ne sont pas là pour nous freiner. Elles sont là pour nous guider.

🌊 Les émotions sont des messages

Depuis,je les ecoute.

La colère me dit quand mes limites sont dépassées. La tristesse me parle d’un attachement, d’un amour,d'un manque, la peur me prépare, me protège.Même la honte me souffle parfois que j’ai besoin de me réparer.Ces émotions, qu’on traite souvent comme des intruses, sont en réalité des alliées profondes de transformation. Lorsqu’on cesse de les juger, elles deviennent des boussoles. Et dans mon métier de coach, d’hypnothérapeute, de préparateur mental, c’est une leçon que je transmets chaque jour.

🌱 Accueillir pour guérir

Dans mes accompagnements, on n’évite plus l’émotion. On l’accueille. On lui donne un espace. Et c’est dans cet espace — souvent fragile, parfois bouleversant — que la vraie libération commence.Alors non, vous ne deviendrez pas insensibles. Mais vous deviendrez maîtres de votre navigation intérieure.

Et c’est peut-être ça, la plus belle des forces : non pas celle de ne pas ressentir, mais celle de savoir quoi faire de ce que l’on ressent.

Il y a quelques années, j’aurais juré que certaines émotions étaient mes ennemies. La colère ? À refouler. La peur ? À fuir. La tristesse ? À cacher sous le tapis. Et si possible, saupoudrer le tout d'un sourire de facade. je croyais, comme tant d’autres, que maîtriser ses émotions, c’était les dominer. Ne pas pleurer, ne pas douter, ne pas vaciller. Être fort. Ou du moins, en avoir l’air.

Puis un jour, au détour d’une séance avec un client venu « juste pour arrêter de fumer », quelque chose s’est ouvert. Ce n’était pas le tabac le vrai problème. C’était une boule dans la gorge. Un chagrin ancien. Un adieu non dit. Et à ce moment-là, j’ai vu ce que je refusais de voir depuis longtemps : les émotions ne sont pas là pour nous freiner. Elles sont là pour nous guider.

🌊 Les émotions sont des messages à écouter

La tristesse me parle d’un attachement, d’un amour, d'un manque.

La peur me prépare, me protège.Même la honte me souffle parfois que j’ai besoin de me réparer.Ces émotions, qu’on traite souvent comme des intruses, sont en réalité des alliées profondes de transformation. Lorsqu’on cesse de les juger, elles deviennent des boussoles. Et dans mon métier de coach, d’hypnothérapeute, de préparateur mental, c’est une leçon que je transmets chaque jour.

🌱 Accueillir pour guérir

Dans mes accompagnements, on n’évite plus l’émotion. On l’accueille. On lui donne un espace. Et c’est dans cet espace — souvent fragile, parfois bouleversant — que la vraie libération commence.Alors non, vous ne deviendrez pas insensibles. Mais vous deviendrez maîtres de votre navigation intérieure.Et c’est peut-être ça, la plus belle des forces : non pas celle de ne pas ressentir, mais celle de savoir quoi faire de ce que l’on ressent.

💬 Et vous ? Quelle émotion avez-vous appris à apprivoiser ?

Je vous invite à déposer un mot, un ressenti, une question en commentaire. Car parfois, c’est en osant en parler… qu’on commence enfin à s’en libérer.

avec quelques séances d'accompagnement , nous pouvons ensemble trouver des pistes de travail, de reflexions, n'hésitez a à me contacter "c'est gratuit "