les anciens sportifs parlaient d'une fatigue mentale temporaire, un mauvais passage une baisse de forme mais surtout pas de burn out
les sportifs d'aujourd'hui n'ont plus peur de parler de dépression. d'en parler c'est un bon début pour traiter le fond de ce problème, c'est peut etre aussi l'occasion de remettre à plats ce objectifs
Ces dernières années, on a vu apparaitre dans les medias de nombreux témoignages de ces champions qui osent parler de leur souffrance ou en inventé un terme "le sportif en burn-out"
aujourd'hui, les témoignages de sportifs de haut niveau sont pris en charges serieusement or touq les experts le disent, la personne déprimée qui reconnaitre en baisse de forme physique et mentale accede à une démarche de soin dont l'efficacité a ete largement démontré à ce jour.
L’athlète en surentraînement a tendance à augmenter la charge de l’entraînement pour compenser la baisse de performance; l’athlète en burn-out vit au contraire un véritable dégoût de la compétition, de l’entraînement
En fait, il serait intéressant de savoir ce que ces abandons sportifs précoces ou tardifs ont engendré comme difficultés. Mais aussi ce que ce nouveau départ dans la vie sans la contrainte de l’entraînement intensif précoce leur a rapporté et permis. Ce qui est sûr, c’est que le suivi médical et psychologique se révèle indispensable lors de ces abandons forcés. Et il me semble que de ce point de vue les progrès sont tangibles.
Retrouver les motivations
La trajectoire du sportif d’élite est très souvent caractérisée par des moments de doute, de ras-le-bol ou de démoralisation. Ces sentiments «négatifs» font partie de son vécu, comme les attitudes «positives» telles que la rage de vaincre, la focalisation sur les objectifs et la quête de la victoire. Un cocktail de réalisme et de capacité de résilience qui forge le champion. Celui-ci n’est pas un surhomme mais un individu qui sait intégrer forces et limites et qui s’entoure de personnes lui rappelant qu’il existe aussi un monde au-delà de la performance sportive.
Le phénomène du surentraînement s’apparente au burn-out par la chute des performances mais il présente une différence significative: l’athlète en surentraînement a tendance à augmenter la charge de l’entraînement pour compenser la baisse de performance; l’athlète en burn-out vit au contraire un véritable dégoût de la compétition, de l’entraînement, de son sport et, dans les cas les plus extrêmes, trouvera son salut dans l’abandon de la compétition. Dans ce cas, métaphoriquement, il a brûlé toutes les réserves (le terme de burn out tire son origine des avions en panne de carburant). Encore une fois, ici, l’entourage de l’athlète lui permettra (ou pas) de différencier les deux syndromes.
Le burn-out fait partie des problématiques du monde sportif, qui en compte de nombreuses autres. Les athlètes sont tentés de recourir aux substances réduisant la douleur physique et morale, ils sont par ailleurs confrontés à l’inévitable transition de l’après-carrière ou encore à la perte de leur statut d’excellence. La résonance médiatique aujourd’hui valorise l’athlète mais, à travers l’oubli, elle peut aussi blesser son ego. A cet égard, la fin d’une carrière se situant disons à 35 ans provoque chez l’athlète une profonde remise en question.
Cette période de doutes et de fragilité peut toutefois représenter une chance pour ajuster ses motivations, changer d’environnement, travailler différemment, élargir ses intérêts. Dans toute carrière professionnelle et pas seulement sportive, ce moment de flottement est dans la plupart des cas synonyme de croissance, de prise de conscience et de maturité. Dans le cas du sport de haut niveau,
Préparation mentale, l'hypnose
pour accompagner le sportif de haut niveau, la preparation mentale accompagnee de séances d'hypnose ont toute leurs places dans le processus de remotivation et de retour à la competition
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